Bilqiss est une jeune femme condamnée à mort dans un pays où la charia est strictement appliquée. Son crime: avoir lancé l’appel à la prière à la place du muezzin mais son crime c’est aussi et surtout d’être une femme. Le juge qui doit prononcer la sentence pourrait changer d’avis s’il n’était pas lui-même enchainé à son système archaïque et cette journaliste américaine pourrait aussi aider Bilqiss si celle-ci n’était pas aussi fidèlement liée à ses principes. On rit, on pleure, on s’insurge, on s’interroge. Il existe des milliers de Bilqiss et cette histoire nous dit aussi à quel point le lieu de notre naissance est déterminant. C’est une belle prouesse de Saphia Azzeddine de réussir à nous faire rire du tragique.
Le jour où j’ai écrit une histoire d’adoption de chien
Un jour, parce que cela arrive, Catherine eut 40 ans et réfléchit à une promesse qu’elle avait faite quelques années en arrière. Cette promesse, elle l’avait faite aux gens qui, face à son célibat et effrayés par leur propre peur d’être seuls, lui disaient souvent «...
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